Le rapport documente les conditions de vie des civil·e·s vivant dans les villes assiégées du Burkina Faso ou fuyant celles-ci mais aussi les crimes de droit international et les atteintes aux droits humains commis par les groupes armés. Le rapport met également en lumière la réaction des autorités, notamment les violations du droit international humanitaire qu’elles commettent et les restrictions qu’elles imposent à l’assistance humanitaire.