Gambie. Le maintien de l’interdiction des MGF est une bonne nouvelle, mais les autorités doivent s’attaquer en urgence à ses causes profondes
En réaction au rejet par le Parlement gambien, le 15 juillet, d’un projet de loi visant à abroger la loi de 2015 sur les femmes (amendement) interdisant les mutilations génitales féminines (MGF), Samira Daoud, Directrice régionale d’Amnesty International pour l’Afrique de l’Ouest et l’Afrique centrale, a déclaré : « C’est avec un grand soulagement que nous…