Mali. Les autorités doivent immédiatement libérer l’ancien premier ministre Moussa Mara et mettre fin à la répression des droits civils et politiques
La condamnation et la peine de deux ans de prison dont un an ferme et à une amende de 500 000 francs CFA (762 euros) dont 1 franc symbolique à l’État malien, infligées à l’ancien premier ministre malien Moussa Mara pour des accusations entre autres d’atteinte au crédit de l’État constituent une parodie de justice, a déclaré Amnesty International, appelant les autorités à le libérer immédiatement, ainsi que les autres personnes détenues uniquement en raison de leurs opinions politiques.

